« […] Car la vérité trébuche sur la place publique. » Yis 59 :14
« […] Et des femmes dominent sur lui; Mon peuple, ceux qui te conduisent t’égarent. » Es 3 :12
L’heure est grave et le cœur du Reste Messianique est attristé face au spectacle désolant qu’offrent aujourd’hui les pasteurs et les chrétiens des assemblées et des églises locales. Qui n’a jamais assisté à ce rendez-vous public manqué où on a vu des pasteurs ou des hommes se disant «hommes ou femmes de Dieu», s’égosiller, crier à tue-tête, dans l’espoir de voir le Seigneur agir et manifester sa puissance. Scène qui rappelle l’humiliation des faux prophètes de Baal confrontés à l’homme vert, Ély, le Tischbithe.
Ce qui était hier, l’est aujourd’hui avec les mêmes acteurs et leurs descendants. Ainsi les parents (prophètes de Baal) qui avaient mangé des raisins verts (fausses doctrines, extorsions financières des ouailles sous prétexte d’offrandes ou/ et de dîmes) ont vu les dents de leurs progénitures agacées.
« […] Et des femmes dominent sur lui; Mon peuple, ceux qui te conduisent t’égarent. » Yis 3 :12
Le féminisme et l’émancipation de la femme ne sont en fait que de destruction des fondements de la Parole et un dévoiement de l’esprit de la prophétie. Les femmes et encore les femmes. Le shaliah Paul rappelait aux enfants de la promesse que ce n’était pas Adam, notre patriarche qui avait été séduit mais plutôt notre matriarche, Ève. Je n’affirme pas non plus que la femme soit inférieure à l’homme, mais j’insiste sur le fait que dans les deux Ordres (Aaron et Melchisedech), la femme a un statut qui lui est spécifique. Dans nous sommes –là dans des mystères qui ne sont pas à la portée du grand nombre. Et Yahmbé les a réservés pour les consacrés et ceux qui ont connu un véritable et profond brisement spirituel. Je rappelle qu’à chaque niveau spirituel, il y a des anges veilleurs qui veillent à ce que la loi et les dispositions du Seigneur ne soient pas transgressées.
Je rappelle pour terminer qu’enseigner ou plutôt l’enseignement de la parole sacrée revient à ceux qui ont été choisis, instruits aux choses cachées et dont la bouche desquels a été éprouvée par le feu du Seigneur. N’enseigne pas qui veut. Mais celui qui enseigne (à ne pas confondre avec une simple prédication, et c’est bien ce qui a cours tous les jours dans ces assemblées mortes que le prophète Jérémie appelait : citernes crevassées d’Égypte où des femmes prétentieuses et dominatrices de leur mari et des hommes sans dignité se plient à leurs dérèglements et à leur désordre. L’homme selon le Seigneur a le pouvoir de lier et de délier tant dans les cieux que sur la terre. Enseigner, consiste à donner de la nourriture au temps convenable aux enfants du Seigneur. Mes chères Jézabel modernes, faites attention ! Les femmes qui enseignent sont comparables à ces anges qui ont perdu leur rang, leur dignité. La bible ne parle-t-elle pas du sort funeste qui est réservé à ces astres errants ? (Yaquba/Jude 6).
Sur le plan symbolique donc spirituel, la parole prophétique est résolument contre ces femmes du peuple qui prennent autorité sur l’homme. Il s’agit –là d’une des lois naturelles voire cosmiques qui régissent l’univers. Il s’agit surtout du respect de l’ordre établi avant la création du monde. L’histoire tragique de l’humanité situe, remonte ses origines et ses causes à Ève. Car cette dernière n’a pas respecté la loi qui sépare le pur (casher) de l’impur et du profane. Je suis un peu attristé de ne pas pouvoir aller plus loin dans l’explication et j’espère que le Seigneur nous permettra d’y revenir avec un peu plus de détails (voir la tribu de Dan et la divination). A termes, ces femmes qui enseignent contre l’ordre du Seigneur seront retranchées du peuple. Oh !je prends le risque d’être nargue par les thuriféraires du système sataniste qui malicieusement et insidieusement sapent les fondements de la famille et de la société en prônant l’égalité entre les deux sexes. Sans contredit, il y a un sexe dominant selon la loi de la hiérarchie et de l’ordre et non du chaos. Cette parole est certaine et véritable. Si ce que je dis n’est pas du Seigneur, donc vérité, donnons-nous rendez-vous sur la montagne lorsque le Schilo viendra reconnaître les siens. Il dira à ces pastoresses, à ces femmes rebelles et prétentieuses, « Retirez-vous de moi, je ne vous connais ». – Elles diront : « ne te souviens-tu pas de mes show devant telles assemblées, j’ai même écrit des livres, fais des conférences et des retraites en ton nom au cours desquelles j’enseignais et faisais la promotion de la femme ». Ce sera le moment de distinguer les prophètes de Baal et la semence du serpent d’une part et les vrais adorateurs (qui adorent en esprit et en vérité)
« Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence. Car Adam a été formé le premier, Ève ensuite; et ce n’est pas Adam qui a été séduit, c’est la femme qui, séduite, s’est rendue coupable de transgression. Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans la charité, et dans la sainteté. » 1 Tim 2 :12-15 ; 1 Cor 14 :35-36.
Ces pasteurs modernes, héritiers légitimes et fidèles continuateurs du baalisme, parce qu’ils ne sont pas au courant du souffle prophétique, font naturellement trébucher la vérité du Seigneur sur la place publique. Ils annoncent des prodiges, des guérisons et des délivrances faisant en vain espérer des âmes souffrantes et fragilisées par la vie. Ils annoncent que le Seigneur leur a montré ceci et rassurent en faisant croire que le Seigneur va agir. Mais l’attente de la manifestation de la puissance du Seigneur se faisant attendre jusqu’à ce que les âmes se découragent et meurent dans l’indifférence totale.
Qu’il s’agisse d’Israël ou qu’il s’agisse de l’Église du Seigneur, la maternité est le propre de la femme. C’est une spécificité féminine a laquelle ne saurait aspirer l’homme.
« Mon peuple a pour oppresseurs des enfants, Et des femmes dominent sur lui; Mon peuple, ceux qui te conduisent t’égarent, Et ils corrompent la voie dans laquelle tu marches. » Yis 3 :12.
La déception et la colère du Seigneur sont très grandes et la seule alternative est qu’il faut sortir de ces structures inspirées par Babylone. C’est pour cela que tous les vrais consacrés doivent se démarquer et prendre résolument position contre ces pratiques idolâtriques et ces abominations.
Le spectacle est désolant. Car ils annoncent de la part du seigneur, Yahmbé des choses qui n’arrivent jamais. Et lorsque certaines prédictions arrivent, elles sont d’une banalité déconcertante, d’une trivialité qu’il faut être un sacre idiot pour y croire. En général, ces inspirations et ces effusions psychiques sont de manifestations démoniaques ayant pour objectif de séduire et d’endormir les âmes faibles et trop crédules. Quoi qu’il en soit, tout ce qu’ils entreprennent échouent spirituellement. Ils peuvent néanmoins être riches, avoir un confort social indéniable, mais en réalité, ils ont perdu leur espérance. Ce sont de faux circoncis et des mercenaires qui ne sont ni envoyés ni oints du Seigneur. Ces faux christs ou faux pasteurs ont été formés dans des facultés de théologie ou sont sortis des séminaires ou des écoles bibliques avec de bonnes distinctions. En effet, ce sont des produits faits pour des dénominations et dont la traçabilité est donnée sur de cv .Ils ont été formatés pour parler, réfléchir comme les prêtres de l’église Catholique, de Babylone, la Grande.
« Ces choses arriveront parce qu’ils égarent mon peuple, En disant: Paix! Quand il n’y a point de paix. Et mon peuple bâtit une muraille, Et eux, ils la couvrent de plâtre. Dis à ceux qui la couvrent de plâtre qu’elle s’écroulera; Une pluie violente surviendra; Et vous, pierres de grêle, vous tomberez, Et la tempête éclatera. Et voici, la muraille s’écroule! ne vous dira-t-on pas: Où est le plâtre dont vous l’avez couverte? » Éz 13 :10-12.
On le voit aujourd’hui lors des prédications. Certains pasteurs ayant invité du monde (hommes et femmes) après leur avoir promis guérisons et délivrance, se trouvent désemparés. Car ils avaient pris des engagements au nom du Seigneur, alors qu’ils ne sont ni en communion avec les saints ni en règle avec la Parole, elle-même ni avec le Maître de séance que j’ai nommé Yahmbé par son Fils Yeso, notre Messie. Mais que se passe-t-il? Yahmbé n’est malheureusement pas au rendez-vous des hommes et il n’est pas non plus dans ces dénominations. Il y a panique dans la salle et le public est abasourdi et même dans l’attentisme. Pendant ce temps, ces mauvais ouvriers sont dans la confusion. Ils redoublent d’effort, de prières et de louange espérant que quelque chose va se passer. Il y a une hystérie collective. Ce sont des cris qui se font assourdissants. Ils prennent malheureusement la place du Saint-Esprit. Ils ont beau invoquer le Seigneur, implorer le ciel. Mais le ciel est fermé car le Seigneur n’est pas là et il ne sera jamais au rendez-vous. En fait, que se passe-t-il? Il se trouve que ces prétentieux qui ne se consacrent pas et qui sont à la limite racistes et sodomistes (ceux qui pratiquent des dérèglements et souillures avec des femmes : fellation, cunnilingus, etc.) pour une bonne partie ont osé engager la responsabilité du Seigneur dans ces combats d’avance perdus.
Nous avons vu plus loin que ces temps étaient mauvais et que les sages appelés autrement les aigles du Seigneur devraient se taire. Et ils ne devraient plus se montrer imprudemment devant le public. Car les héritiers des faux prophètes de Baal d’hier sont ceux qui dirigent aujourd’hui ces différentes églises et assemblées dénominationnelles. Elles ne sont en fait que des émanations du Diable et surtout des avatars de la Bête. Elles ont à leur tête des hommes et désormais des femmes qui, au nom de la prétendue égalité de sexes, d’égalité entre l’homme et la femme, renversent l’autel (profanent) de Yahmbé. Vérité ou mieux réalité anti biblique et qui, plus est, est à contre-courant de la révélation prophétique. Selon la Bible et le témoignage de Yeso qui est l’esprit de la prophétie, dans l’Église de Yeso, la femme ne doit en aucun cas prendre autorité (prêcher, enseigner les hommes) sur l’homme. Ce n’est pas de façon absolue. Elle peut le faire lorsque ce dernier est déchu, s’est éloigné de son Créateur et de la Parole. Le shaliah Paul qualifié de misogyne par les mêmes rebelles, ne déclarait-il pas qu’il ne permettait pas à la femme de prendre autorité sur l’homme et que tous ceux-là qui contestent cette vision, cette réalité prophétique étaient également ignorés de Yahmbé et de Yeso, son Messie?
Que se passe-t-il en fait ? La plupart de ces dirigeants d’églises et assemblées chrétiennes sont considérées par le Seigneur et le souffle prophétique comme des imposteurs. Ils se disent envoyés alors qu’ils ne le sont pas. Ils parlent en vain du Seigneur annonçant indéfiniment des délivrances, des guérisons alors qu’ils n’ont rien reçu du Saint.
Sur le plan religieux, leur femme ou leur mari deviennent leur conseiller et leur assistant. Ce qui donne un caractère familial à la vie de l’église. On comprend pourquoi il y a du clientélisme et du népotisme dans ces citernes crevassées.
Ils se cooptent, se recommandent les uns aux autres selon des affinités ethniques, racistes et religieuses. Ils se ménagent constamment. Dans leurs shows publics, ils se jettent des fleurs, vantent les mérites des uns et des autres. Ainsi ils se cousent des coussinets afin de ne point causer du tort à qui que ce soit. Leur reconnaissance ne se fait pas sur la base de la connaissance, de la consécration et de l’amour du Seigneur. Au contraire, ils exhibent leurs diplômes, leurs titres universitaires, des livres qu’ils ont fait écrire par des mercenaires. Les mêmes pasteurs qui ne peuvent pas lire un passage biblique ou donner un enseignement spirituel, sont les premiers à inonder les églises et les assemblées d’écrits vides et plats. Ils s’idolâtrent, parlent d’eux, vantent le mérite de leur femme ou de leurs enfants reléguant au second rang non seulement notre Seigneur et le Royaume de notre Seigneur, mais encore les besoins spirituels des âmes sur lesquels surfent. Ces faux pasteurs devenus dans leurs enseignements mous et stériles se sont efféminés en devenant moralement des femmes. C’est pour cela que la parole du Seigneur fut adressée à son serviteur Ézéchiel en ces termes :
« Tu diras: Ainsi parle le Seigneur, Yahmbé: Malheur à celles qui fabriquent des coussinets pour toutes les aisselles, Et qui font des voiles pour la tête des gens de toute taille, Afin de surprendre les âmes! Pensez-vous surprendre les âmes de mon peuple, Et conserver vos propres âmes? Vous me déshonorez auprès de mon peuple Pour des poignées d’orge et des morceaux de pain, En tuant des âmes qui ne doivent pas mourir, Et en faisant vivre des âmes qui ne doivent pas vivre, Trompant ainsi mon peuple, qui écoute le mensonge. »Éz 13 : 18-19.
Les femmes sont désormais majoritaires au sein des églises, ce n’est pas un fait nouveau. Mais là où les choses flanchent c’est qu’elles y pilotent presque tout. Avec leur voix devenues des tambourins, elles réchauffent l’atmosphère, s’activent au conditionnement psychique des non croyants et de croyants charnels qui ont l’illusion de rencontrer le Seigneur et l’amour et la fraternité. C’est également elles qui partagent beaucoup la parole banale ayant une approche très émotionnelle de la vie de l’église ou de l’assemblée locale .Elles animent tant par leur participation physique que par leurs moyens financiers (dîmes, offrandes, etc.)ces églises. Ce n’est pas que cela soit mauvais, mais ce que le Seigneur refuse c’est l’appropriation de la parole et nivellement vers le bas. Elles y parlent beaucoup, y monopolisent la parole, influencent malheureusement ces pasteurs efféminés qui n’ont pas le temps de se consacrer ou se tenir devant le Seigneur.
« Et toi, fils de l’homme, porte tes regards sur les filles de ton peuple Qui prophétisent selon leur propre cœur, Et prophétise contre elles! » Éz 13 :17.
Généralement, ces hommes déchus sont à la merci de leur femme. Lesquelles se jouant d’eux par l’affect. Elles réussissent à leur faire faire n’importe quoi. Certains pasteurs affichent une certaine ouverture d’esprit, mais en prenant le soin de s’entourer de collaborateurs femmes ou d’hommes acquis à leur cause plutôt qu’au Seigneur. Celles-ci les aidant à faire des choses émotionnelles sans la moindre fibre spirituelle.
Dans leur famille ou dans le starting box, ils se disent les uns aux autres :
« Nous grondons tous comme des ours, Nous gémissons comme des colombes; Nous attendons la délivrance, et elle n’est pas là, Le salut, et il est loin de nous. Car nos transgressions sont nombreuses devant toi, Et nos péchés témoignent contre nous; Nos transgressions sont avec nous, Et nous connaissons nos crimes. » Yis 59.11-12
Ils pensent que c’est à force de crier, de s’égosiller qu’ils auront la guérison, la délivrance ou le salut des âmes. Ils suent, transpirent en vain dans l’attente de la descente du Saint-Esprit. Rien ne s’y passe car ils ont rejeté la connaissance de Yahmbé et la véritable consécration spirituelle. En fait, le salut et la délivrance se sont dérobés sous leurs pieds.
« Et la délivrance s’est retirée, Et le salut se tient éloigné; Car la vérité trébuche sur la place publique, Et la droiture ne peut approcher. La vérité a disparu, Et celui qui s’éloigne du mal est dépouillé. -Yahmbé voit, d’un regard indigné, Qu’il n’y a plus de droiture. » Yis 59 :14-15.
Etant donné que ces dirigeants religieux sont devenus des arbres secs alors ils ne sont plus à même de donner le moindre enseignement spirituel au troupeau du Seigneur. La vérité est qu’ils ne connaissent pas la première lettre alphabétique du Saint-Esprit. En effet, certains d’entre eux persistent dans cette voie de l’impiété et de l’apostasie, parce qu’ils sont dans la réalité des fils et des femmes de serpent. Ce sont également des vipères dont les œufs produisent de basilics.
« Ils couvent des œufs de basilic, Et ils tissent des toiles d’araignée. Celui qui mange de leurs œufs meurt; Et, si l’on en brise un, il sort une vipère. Leurs toiles ne servent point à faire un vêtement, Et ils ne peuvent se couvrir de leur ouvrage; Leurs œuvres sont des œuvres d’iniquité, Et les actes de violence sont dans leurs mains » Yis 59 :5-6.
Leurs discours très « aimants »ont plutôt un effet soporifique (qui endort) les gens plutôt que de les secouer, les réveiller de leur torpeur. Et sur le corps et la tête de ceux qui y croient, ils font recouvrir une crème émolliente.
Vous vous rendez compte que ce mot « aimant » a deux sens. D’une part, « aimant » est un adjectif verbal qui dérive du mot « amour », et de l’autre, le mot « aimant » qui est un nom. Auquel cas il est un métal qui attire le fer. Il sert par ailleurs d’appât. La symbolique de ce métal est que l’aimant attire du fer c’est-à-dire des hommes et des femmes formés ou déformés par les écoles bibliques, facultés de théologie. Ils sont déformés par des dogmes et traditions qui n’ont rien à voir avec le souffle prophétique. Le fer est l’altération graduelle de l’airain et de l’or.
C’est aussi par des discours doucereux qu’ils arrivent à bercer d’illusion leur auditoire. Ces imposteurs sincères ne sont que de prévaricateurs et de marchands d’illusion et de brises- espérance. En effet, il ne s’agit-là que de religieux peu scrupuleux qui ont une conscience obscurcie par l’iniquité et dépourvus de la sainte connaissance. Ils ignorent tout de la vérité évangélique et prophétique.
Sous prétexte de ne pas faire paniquer ou de préserver la concorde au sein de leur église, ces pasteurs légers roulent, à vrai dire, pour leur famille. Ils bercent d’illusion des femmes seules et caressent le public dans le bon sens du poil. Ils colmatent les brèches, font du replâtrage et de la garde de croyants devenus des nains spirituels. Car ces derniers ne sont nourris qu’au lait frelaté de la parole. Ces malheureux croyants n’ont jamais rien reçu comme aliments solides.
« Et contre ceux qui l’ont couverte de plâtre; Et je vous dirai; Plus de muraille! Et c’en est fait de ceux qui la replâtraient, Des prophètes de Israël qui prophétisent sur Salamah, Et qui ont sur elle des visions de paix, Quand il n’y a point de paix! Dit le Seigneur, Yahmbé. » Éz 13 :15-16.
C’est parce qu’ils ne sont pas nés du Seigneur qu’ils recourent à tous les artefacts pour garder des âmes au sein de leur église ou assemblée locale. Ces faux pasteurs qui travaillent pour la mère des prostituées, Babylone, se livrent à un spectacle désolant, pathétique et lamentable. Ils se disent inspirés de Yahmbé et parlent de sa part du Seigneur alors que ce n’est pas vrai. Ils prétendent avoir une onction qui leur donne la puissance de guérir les maladies, de délivrer des possédés. Leurs enseignements n’étant que de redites et de platitudes dont l’effet est de confondre ceux qui veulent vraiment s’engager et aller bien plus loin avec le Seigneur.
La vérité trébuche sur la place publique parce que Yahmbé n’est plus au rendez-vous. On prédit que le Seigneur fera quelque chose, mais rien n’arrive malheureusement. Aucun signe ne s’opère. Et que se passe-t-il donc ? Il s’ensuit du désenchantement, de la désillusion, de la déception et des déperditions scandaleuses (abandons ou défections des réunions). En un mot, on repart déçu et désabusé.